Physiologie
Étudiant les fonctions de l’organisme cellulaire et moléculaire, la physiologie suit l’état d’équilibre d’un environnement spécifique des êtres vivants. Elle met en avant les mécanismes autonomes de régulation de ces derniers. Corrélant biologie-santé, elle constitue une importance tant sur la santé physique que psychique.
Par ailleurs, la physiologie correspond également aux maladies aiguës touchant la capacité du corps humain à régulariser son organisme. C’est une discipline dans le domaine de la biologie. Ainsi, un physiologiste est une personne ayant effectué des études en biologie des organismes, intervenant sur toute physiopathologie. À savoir que celle-ci traite les dérèglements des organes. Autrement dit, toutes les maladies touchant le fonctionnement de l’organisme ou le métabolisme des cellules (cellules-souches et cellules nerveuses comprises) du corps.
Traitant l’incapacité de l’organisme à regagner son équilibre, la physiologie humaine se base sur la recherche et le développement de la génétique moléculaire. Les physiologistes peuvent également intervenir pour résoudre les problèmes d’hypophyse. Certaines personnes présentent des difficultés au niveau des neurotransmetteurs ou des vaisseaux sanguins, et des complications au niveau hormonal peuvent survenir. D’ailleurs, les neurones ont de grandes fonctionnalités à propriétés physiologiques. Ce sont l’excitabilité et la conductivité transmises par l’axone. Ainsi, ce type de pathologie nécessite un traitement médical.
La physiologie ne doit pas être confondue avec la kinésiologie.
Le kinésiologue n’établit ni diagnostic, ni traitement, ni pronostic, ni prescription médicale, ni régime alimentaire, ne fait aucune prescription médicale et ne demande jamais d’interrompre un traitement médical, rappelle aux consultants que le kinésiologue n’est ni médecin ni thérapeute et qu’ils doivent impérativement consulter au delà du champ des symptômes, s’abstient de présenter la kinésiologie en termes laissant croire qu’il s’agit d’une méthode de guérison et donc d’éviter les langages et / ou termes médicaux et ce, sur tous supports de communication.