DSTH

La Désintoxinhoméopathie est une thérapie naturelle, dérivée de l’homéopathie. Chaque jour, de nombreux éléments intoxicants pénètrent dans le corps humain, comme les produits artificiels de l’alimentation, les fumées d’échappement et d’autres substances chimiques. Dans le cadre du maintien de santé et de bien-être, ces substances sont nocives. La DSTH a pour objectif d’aider l’organisme à éliminer l’empreinte de tous les toxiques, responsables des pathologies, afin d’établir un rééquilibrage corporel.

En fonction du motif de consultation de chaque patient et des maux, un ostéopathe exclusif propose, en complément de son traitement, la DSTH. Le praticien de santé effectue un diagnostic au moyen de tests utilisés dans le cadre de la pratique de l’ostéopathie structurelle. Il détecte les dysfonctions du corps (blocages, tensions, déséquilibres) par des manipulations du système musculo-squelettique (technique manuelle).

À partir de ce bilan, il détermine les éléments qui encombrent l’organisme. Ensuite, le spécialiste propose des remèdes homéopathiques pour la détoxication. La DSTH est également un outil d’équilibrage énergétique utilisé en kinésiologie. L’énergie se bloque dans le corps à cause d’un mode de vie malsain (par exemple, en consommant trop de produits chimiques).

Afin de cibler les éléments toxiques avec lesquels le client a été en contact, le kinésiologue se renseigne sur ses habitudes de vie. Il fabrique ensuite le patch ou la carte Désintoxinhoméopathie. C’est une matière plastique dans laquelle seront mélangées les dilutions homéopathiques correspondant aux toxines qui indisposent le corps du consultant. Elle est portée directement en contact avec la peau pendant un certain temps pour nettoyer l’organisme. Le kinésiologue détermine l’emplacement du patch par le biais d’un test musculaire.

La DSTH aide le client à comprendre l’origine des troubles qui l’atteignent et lui offrent la possibilité de se soigner autrement. Comme différentes thérapies complémentaires, elle ne soigne pas des maladies, mais la personne, contrairement aux approches conventionnelles.

En effet, la DSTH permet d’apaiser, par une méthode douce, des symptômes morbides, comme la névralgie, la spasmophilie ou les traumatismes. Elle soulage les douleurs articulaires, améliore la gestion du stress, permet de rééquilibrer le Qi et de retrouver le mieux-être du corps. Cette démarche trouve donc tout son intérêt dans la pratique de la kinésiologie.